<Soutien au mouvement marocain du 20 février    *****   Se rebeller est juste, désobéir est un devoir, agir est nécessaire

Analyses

Les opinions exprimées dans ces articles sont celles de l’auteur et n'engage pas le mouvement du 20 février ni les comités de soutien à cette dernière.


Le mouvement du 20 février un an après
Férier 2012 - par Chawqui Lotfi

Une leçon particulière des processus révolutionnaires dans la région arabe concerne, au-delà de l’embrasement général et de la dialectique régionale des luttes, les rythmes différenciés de la lutte pour le renversement des dictatures. Chaque pays, en fonction de son histoire, de la forme du régime politique, des traditions de résistance populaire et nationale, de ses liens avec l’impérialisme mais aussi de sa structure sociale, connait des embrasements plus ou moins rapides, plus ou moins généralisés. On peut légitimement se demander pourquoi au Maroc, mais la question concerne aussi d’autres situations, il n’y a pas de percée qualitative. Qui n’avance pas recule dit un vieil adage, mais ici on se heurte à un risque inverse : celui de figer des difficultés et problèmes à résoudre, de théoriser la défaite parce qu’il n’y a pas de victoires immédiates. Il est néanmoins nécessaire de prendre du recul, ne serait-ce que pour mesurer la nature exacte des défis qui permettraient au mouvement populaire de se redéployer.

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Zineb El Rhazoui : «Mohammed VI a raté un rendez-vous avec l’histoire, il sortira par la petite porte comme tous les dictateurs !»

El Watan 01.07.2011


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Les défenseurs du projet de réforme constitutionnel au Maroc s'opposent à ceux qui le rejettent, à la veille d'un référendum pour lequel les autorités continuent de mobiliser à tout-va. Zineb El Rhazoui est Cofondatrice du Mouvement alternatif pour les libertés individuelles et membre du Mouvement du 20 février.

Mehdia Belkadi
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UNE TENTATIVE DES DETENTEURS DU POUVOIR AU MAROC

Jeudi, 07 Juillet 2011 12:50 - Hayat Berrada – Bousta

Hayat Berrada-Bousta

On savait à l'avance que le résultat du vote référendaire serait un oui « démocratiquement » réalisé.

Cette pratique dont nous avons été abreuvés depuis le début du règne de l'absolutisme au Maroc avait déjà été bien explicité par le journal "Maroc-Hebdo" en décembre 1997, journal aux mains du sinistre Driss Basri :

"Notre processus démocratique n'a strictement aucune vocation à remplacer la légitimité de nos institutions par une légitimité sortie des urnes. Nos valeurs monarchiques sacrées sont une chose et la méthodologie démocratique en est une autre. La seconde ne peut se substituer à la première. L'une est de nature statistique, l'autre est de nature historique et multiséculaire. Il n'y a aucun interstice dans lequel une quelconque surenchère politicienne peut se faufiler" (N°299 - décembre 1997 - page 9).

C'était en 1997 Mais aujourd'hui

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